20 décembre 2010

Calligraphie d'automne

Mouillage nocturne au pont de l'érable
La lune descend, le corbeau croasse, le givre emplit le ciel
Du pont de l'érable, le regard du solitaire tombe sur les lampes des pêcheurs
Au-delà des murs de Suzhou, du temple de la Montagne Froide,
La cloche de minuit retentit alors que les bateaux reviennent.

11 décembre 2010

News

Bonjour à toutes mes fidèles lectrices et à tous mes fidèles lecteurs (ou à ceux que je m'imagine) !

Quelques nouvelles un peu plus personnelles après plusieurs messages militants ou informatifs.
Je suis actuellement en train de passer mes examens de fin de semestre de master 1 de lettres modernes (la moitié de mon cerveau qui n'est pas sollicitée par l'écriture de ce message réfléchit en ce moment même à la façon de terminer mon article d'étude de manuscrits médiévaux...). J'ai commencé à travailler assez sérieusement sur mon mémoire, sujet : "Spiritualité et littérature : le bouddhisme dans les récits de voyage au (grand) XIXe siècle". J'étudierai surtout deux livres d'André Chevrillon, que tout le monde a oublié mais qui a écrit de très belles choses sur l'Inde et la Birmanie (entre autres). Tout ça m'intéresse beaucoup, je suis positivement enchantée par ce travail, je me vois déjà chercheuse en littérature pour le reste de ma vie (ceux qui me connaissent un peu peuvent pouffer...).

En parallèle, je prépare mon prochain voyage : départ fin janvier pour Bombay puis Delhi, quatre mois là-bas à l'université, puis un mois en Chine (je n'y suis pas retournée depuis que j'en suis rentrée en décembre 2007) et un mois en Nouvelle-Zélande chez des amis. J'ai quelques démêlés avec ma banque ces jours-ci pour payer mon billet, mais il est réservé, le passeport est prêt, reste plus que le visa et quelques broutilles de ce genre.

Tout cela combiné fait que je vais quitter mon appartement(et donc Montpellier) dans une semaine, s'il y a des intéressés pour le reprendre n'hésitez pas (il est petit mais 'achement bien, la preuve). Je ne sais pas encore où je m'installerai à mon retour de voyage (fin aout 2011), mais d'ici là...

Donc en conclusion : ça bouge, pas très original certes, mais ce qui est plutôt bien c'est que tout ça me rend heureuse ! Je vous en souhaite tout autant, et beaucoup de lumière intérieure et de joie !
F.

Contre la loi LOPPSI 2

Voilà un modèle de courrier que vous pouvez utiliser pour écrire à votre député (vous pourrez trouver son adresse ici) afin de l'alerter sur la loi LOPPSI 2, qui rend illicite toute construction dépourvue de permis de construire et qui vise ainsi tous ceux qui, par choix ou par nécessité, habitent dans des yourtes, des caravanes, des bidonvilles, etc.

Madame, monsieur

Alertée par l'association HALEM (Habitants de logements éphémères ou mobiles), je viens aujourd'hui attirer votre attention sur l’article 32 ter A de la loi dite LOPPSI-2. Je vous invite à suivre le lien ci-dessous pour connaitre le détail des revendications concernant cet article que je considère contraire aux droits humains les plus fondamentaux.


J'espère, monsieur, pouvoir avoir confiance en votre capacité de résistance, et celle de votre groupe politique, face au gouvernement actuel qui déshonore de plus en plus la belle devise de la France : Liberté, égalité, fraternité.

Cordialement.

14 novembre 2010

Information importante concernant la libéralisation de l'électricité

Bonjour à tous,

Je publie ce message que j'ai reçu aujourd'hui 14 novembre 2010 et dont j'ai vérifié la fiabilité. Le texte est plus ou moins le même que celui présenté sur le site www.poursavoir.fr (site sur lequel on peut aussi signer la pétition contre ce projet de loi).
Je vous joins également :
- l'avis du site de comparaison des tarifs de l'électricité : http://fournisseurs-electricite.com/loi-nome
- l'article sur le site du Sénat : http://www.senat.fr/leg/tas09-164.html
- le détail des procédures sur le site de l'assemblée nationale : http://www.assemblee-nationale.fr/13/dossiers/marche_electricite.asp
- la page sur laquelle vous trouverez le contact de vos députés pour leur écrire à ce sujet : http://www.assemblee-nationale.fr/qui/xml/liste_alpha.asp?legislature=13

Le mouvement de privatisation généralisée se poursuit donc à marche forcée, avec les conséquences que l'on sait pour les consommateurs (c'est-à-dire tout un chacun) et l'état général de notre société. Faisons au moins connaitre notre désapprobation (y compris à nos députés) et circuler l'information.

Fabienne

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ATTENTION ! petit rappel pour ceux qui auraient oublié cette ARNAQUE

AUJOURD'HUI DEBUT ET FIN DE LA SESSION PARLEMENTAIRE AU SENAT POUR PASSER LE PROJET DE LOI NOME.
DANS QUELQUES JOURS CE NE SERA PLUS UN PROJET MAIS UNE VERITABLE LOI SCELERATE AVEC APPLICATION AU 1ER JANVIER 2011.
QUAND NOS FACTURES ET CELLES DE NOS AMIS AUGMENTERONT ON NE POURRA PLUS DIRE QUE L'ON NE SAVAIT PAS.
A DIFFUSER LARGEMENT EVIDEMMENT *
APRES FRANCE TELECOM, LA POSTE, LA SNCF, ETC...

*EDF *
Pour les fameux compteurs qui devraient être installés bientôt et qui devraient nous être facturés au prix très très fort (vers les 300 € ) , et qui, de surcroit, ne seraient pas fiables : il ne faudra rien signer. On ne peut pas refuser à EDF d'accéder aux compteurs, et de les changer : par contre comme nous n'avons rien demandé, nous n'avons aucune obligation de signer quelque document que ce soit, et, du moment que nous n'aurons rien signé, EDF ne pourra pas nous obliger à payer ces compteurs !
Attention aux signatures : aucune, même pour la réception des travaux, etc.

LES TARIFS D'ELECTRICITE VONT AUGMENTER POUR PERMETTRE LA CONCURRENCE !
A TERME, L'USAGER PEUT S'ATTENDRE A DES HAUSSES SUBSTANTIELLES DE SA FACTURE, COMME CELA S'EST DEJA PRODUIT POUR LE GAZ.
NE LAISSONS PAS FAIRE !

C'est la la loi Nome, soit la Nouvelle Organisation du Marché de l'électricité concocté par le gouvernement.

Le principe en est simple : constatant que la concurrence ne fonctionne pas - plus de 96 % des Français restent fidèles à l'opérateur historique (EDF)- le gouvernement a décisdé de la créer artificiellement.
La loi étant passée dans une relative indifférence, à partir du 1er janvier 2011 , EDF aura obligation de revendre à ses concurrents jusqu'à 25 % de sa production d'électricité.
Un véritable hold-up !
Les fournisseurs d'électricité vont se voir offrir un quart de la production, que les Français ont déjà payé avec leur facture, pour qu'ils puissent réaliser des profits, au seul bénéfice de leurs actionnaires.
C'est une première que d'obliger une entreprise, dans le monde de la"concurrence libre et non faussée", à céder une partie de ses atouts à des concurrents qui produisent peu ou pas du tout d'électricité.

autres exemples de privatisations :

Si vous êtes scandalisé, diffusez au moins ce message !
Une fois livré à la concurrence et surtout au " privé " ce sera trop tard.
Le prix de l'électricité sera fixé par des groupes privés qui, en fait, seront des filiales d'un seul et unique groupe !
Vous n'y croyez pas ?
Alors remettez vous dans le contexte de nos chères autoroutes françaises que nos parents et grands parents ont payées avec leurs impô´ts et qui ont été vendues et bradées à de grands groupes privés.
Cela profite à qui ?
Et le prix à payer pour y circuler ? N'est-ce pas scandaleux ?
Mais c'est trop tard, car ce réseau routier n'appartient plus en totalité à l'Etat ! Et pour le reste ce sera pareil !
Aujourd'hui le service public coûte cher, mais ce n'est rien face à ce qui nous attend si nous le bradons à des groupes privés !
Si vous pouvez faire circuler sans modération autour de vous ce message et cette adresse du site, alors n'hésitez pas !!

21 octobre 2010

Réforme des retraites 2/2

En voilà deux autres qui parlent aussi de la réforme des retraites, tout aussi édifiant, peut-être un peu plus marrant (faut quand même avoir une sacrée dose d'humour pour trouver drôle qu'on nous fasse prendre des vessies pour des lanternes...)


2e partie :

Réforme des retraites 1/2

Je vous encourage à regarder Gérard Filoche, qui explique très simplement en quoi le gouvernement nous ment sur la réforme des retraites.

18 octobre 2010

Escapade en Aveyron

L'abbaye de Sylvanès et l'église russe (construite en Russie et déménagée dans l'Aveyron ensuite...)









27 juillet 2010

Vivre sans eau ?

Cela parait impossible, pourtant c'est plus ou moins ce à quoi la justice botswanaise condamne les Bushmen. A lire ici : http://www.survivalfrance.org/actu/6265
PS : Ecrire une lettre ne coute pas beaucoup et peut aider beaucoup, elle est toute prête sur le site, yaka imprimer et poster et zou ! En route pour le Botswana !

Revenu minimum garanti ? Qu'es aco ?

Article à lire sur courrierinternational.com


NAMIBIE
Les miracles du revenu minimum garanti
Dans le cadre d’un projet pilote, les habitants d’un village déshérité ont reçu chaque mois l’équivalent de 10 euros. Deux ans plus tard, le bilan est vraiment positif, se félicite Herbert Jauch, le responsable du programme.
29.04.2010 | Tobias Schwab | Frankfurter Rundschau

Herbert Jauch
Ce chercheur spécialiste des syndicats a dirigé jusqu’en janvier 2010 l’Institut namibien des ressources et de recherche sur le travail (LARRI). Il est membre de la Basic Income Grant Coalition (BIG) de Namibie. Cette alliance, qui regroupe Eglises, syndicats, associations de jeunes et de femmes, a lancé le revenu minimum garanti en 2008. Grâce àce projet financé par des dons, les 1 000 habitants d’Otjivero âgés de moins de 60 ans ont reçu 100 dollars namibiens (10 euros) par mois pendant deux ans.


On débat dans de nombreux pays de l’instauration d’un revenu minimum garanti (RMG) qui ne soit assorti d’aucune condition contraignante. Pourquoi la Namibie a-t-elle pris les devants avec ce projet pilote ?
HERBERT JAUCH La Commission d’orientation nationale a, dès 2002, recommandé le versement d’un revenu minimum à tous les citoyens pour mieux s’attaquer aux inégalités sociales. La Namibie est, selon les Nations unies, le pays qui présente les plus grands écarts de revenus au monde. Comme le gouvernement n’a pu se décider à instaurer un RMG, les Eglises et les syndicats ont lancé un projet pilote.

Pourquoi avoir choisi le petit village d’Otjivero ?
Nous voulions un endroit dans lequel il ne se passerait rien pendant au moins deux ans : pas de programme de création d’emplois, pas de projet d’aide au développement, pas de rentrées financières. Il ne devait y avoir que le revenu minimum, soit 100 dollars namibiens (environ 10 euros) par personne et par mois. Otjivero avait l’air d’être dans une situation tellement désespérée que nous avons pensé au début que le RMG ne servirait pas à grand-chose, hormis une légère réduction de la pauvreté.

Recevoir de l’argent sans condition, sans travailler, est-ce que cela peut faire bouger les choses ?
Ce sont des préjugés auxquels nous nous heurtons en permanence. Si les gens d’Otjivero ne travaillent pas, ce n’est pas parce qu’ils sont paresseux mais tout simplement parce qu’il n’y a pas de travail. Le fait est qu’ils n’ont pas dépensé cet argent pour s’acheter de l’alcool et qu’ils ne l’ont pas dilapidé pour rien.

Qu’en ont-ils fait ?
Nous avons pu observer une chose surprenante. Une femme s’est mise à confectionner des petits pains ; une autre achète désormais du tissu et coud des vêtements ; un homme fabrique des briques. On a vu tout d’un coup toute une série d’activités économiques apparaître dans ce petit village. Cela montre clairement que le revenu minimum ne rend pas paresseux mais ouvre des perspectives.

Vous auriez pu parvenir au même résultat avec des microcrédits ciblés.
Contrairement aux microcrédits et à beaucoup de programmes d’aide au développement classiques, le revenu minimum a un impact non seulement sur la production, mais aussi sur la demande. En Afrique, le pouvoir d’achat se concentre en général dans quelques centres, ce qui force les gens à quitter les campagnes pour les villes, où les bidonvilles finissent par s’étendre. Le RMG permet à des régions rurales de se développer, il crée des marchés locaux et permet aux gens d’être autosuffisants.

Quels effets avez-vous pu constater à Otjivero ?
Le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté est passé de 76 à 37 %. Avant l’expérience, près de la moitié des enfants étaient sous-alimentés, aujourd’hui ils sont moins de 10 % ; 90 % finissent leur scolarité, avant, ils n’étaient que 60 %. Et la criminalité a baissé.

Pourquoi demandez-vous la création d’un RMG pour tous les Namibiens et pas seulement pour les pauvres ?
Cela demanderait beaucoup trop de travail et coûterait beaucoup trop cher de vérifier les besoins de chacun. De plus, il ne faut pas pénaliser les gens qui ont trouvé un travail ou qui se sont construit une existence. Celui qui gagne bien sa vie et qui est riche reverse le RMG à l’Etat par ses impôts.

La Namibie pourrait-elle se permettre de verser un revenu minimum à tous ses habitants ?
La Commission d’orientation l’a calculé depuis longtemps. Le RMG coûterait 5 à 6 % du budget national. Pour le financer, il faudrait relever légèrement le taux maximum d’imposition, qui est de 34 % actuellement, et la taxe sur le chiffre d’affaires. Le gouvernement pourrait également introduire des prélèvements sur les exportations de matières premières et lutter contre l’évasion fiscale.

Mais le versement du RMG serait très lourd à gérer.
Bien au contraire ! Les coûts de gestion représentent environ 10 %. A Otjivero, nous avons utilisé des cartes à puce personnelles pour l’identification des intéressés et ça s’est très bien passé. Et la poste namibienne affirme qu’il serait rentable pour elle d’ouvrir un bureau dans chaque ville en cas d’instauration du RMG. Même avec deux retraits d’argent sans frais par mois, ça vaudrait encore le coup.

Qu’est-ce qui empêche la Namibie d’introduire le RMG ?
Le gouvernement n’est pas encore tout à fait convaincu. Notre ministre de l’Economie a compris que le revenu minimum constituait un instrument simple et bon marché pour changer les choses. Il y a cependant des résistances du côté du ministère des Finances et de notre Premier ministre, qui émet encore des réserves.

L’expérience menée à Otjivero n’a-t-elle donc pas convaincu ?
La pression exercée par le Fonds monétaire international (FMI) n’est pas sans effet en Namibie. Le FMI a présenté des chiffres erronés sur le coût du RMG. Il prend par exemple en compte les plus de 60 ans, alors qu’ils ne sont pas concernés par le RMG. Il craint que la Namibie démontre que le RMG fonctionne. Ce système deviendrait alors très intéressant pour des pays comme le Brésil et l’Inde.

Comment réagissez-vous à cela ?
Nous faisons le tour du pays avec des gens d’Otjivero pour qu’ils racontent leur histoire. Et nous sommes soutenus partout ! Nous espérons pouvoir arriver à nos fins dans le courant de l’année prochaine. L’important, c’est que la pression de la base soit forte. Quand les électeurs l’exigeront, la SWAPO, le parti au pouvoir, ne pourra plus dire que ça ne l’intéresse pas.

20 juillet 2010

Jeter un voile ?

Si, comme moi, vous avez du mal à vous faire une idée claire sur la question du voile intégral (politique + islam + femmes = situation émotionnelle explosive), je vous suggère la lecture de l'article publié sur le site de Courrier International (attention, problèmes de mise en page) ainsi que celle des commentaires des lecteurs (attention, réactions épidermiques).
Ensuite, on peut engager la discussion (par commentaires interposés, on ne risque pas les tomates et autres projectiles indésirables). Personnellement, je suis assez de l'avis de la journaliste du Guardian, par exemple sur l'argument de la réaction à "la sexualisation généralisée de la culture occidentale". Suis-je pour autant une vieille schnock ?

09 juillet 2010

Mangeons bio...

Extrait d'un article paru sur lemonde.fr qui évoque l'impact (ou pas) de "la crise" sur la consommation alimentaire des Français et des Européens :

" le bio et le commerce équitable, "contrairement aux idées reçues, ont traversé sans dommage le cap de la récession", écrit Euromonitor. La consommation a progressé de 2 % dans le monde (26 milliards de dollars soit 21 milliards d'euros) et de 4 % en Europe. Le marché du commerce équitable (3,4 milliards de dollars, selon Fairtrade Labelling Organisation International), lui, a crû de 15 % en valeur en 2009. En 2009, les marchés britanniques et américains ont progressé respectivement de 12 % et 7 %. En France, Alter Eco a ainsi relancé son chocolat "Noir intense" avec succès en dépit d'un prix presque deux fois supérieur à celui d'une tablette classique. Malgré la crise, les consommateurs intègrent à leurs dépenses une sorte d'impôt solidarité."

Moi je dis : youpi ! Continuons ! Sans oublier tout ce qui pousse dans notre jardin ou juste à côté et qui ne rentre pas dans ces chiffres...

04 juillet 2010

L'oubli...

Ravie de savoir que le département de l'Hérault me soutient dans mes recherches sur le bouddhisme et la littérature (surtout en me procurant de quoi m'éventer dans la laverie surchauffée)...

27 juin 2010

Réforme des retraites

Encore une petite vidéo pour nous aider à penser en dehors des sentiers battus, et surtout à côté de ce que certains voudraient bien nous faire penser...

L'argent dette

Si vous vous demandez d'où vient l'argent que nous utilisons, sur quoi il est basé, comment cela se fait que les états, les entreprises et la plupart des ménages soient endettés (et ce de plus en plus), comment une croissance infinie dans un monde fini est possible, prenez le temps de regarder cette vidéo, qui vous donnera les moyens de penser autrement - ça peut toujours servir...

20 mai 2010

Visite au musée des arts asiatiques

Lors de mon dernier séjour parisien, je suis (enfin !) allée visiter le musée Guimet : c'était magnifique ! Je vous fais partager quelques-unes des belles choses que j'ai pu y voir.

Ganesh

?? mais joli, m'a fait penser à lui

Guanyin, Tchenrézi chinois, personnification féminine de la compassion
(avec beaucoup de bras pour aider tous les êtres)

très vieux (voir ci-dessous)

du proto-chinois

des jeunes filles jouant au polo

un étranger vu par les Chinois (vous remarquerez le nez)

un Bouddha moustachu (art du Gandhara)

un kapala (objet rituel tibétain en crâne humain)
décoré de l'alphabet tibétain

un Bouddha presque hilare (ça change !)

objets rituels tibétains en verre

céramique céladon

03 mai 2010

Décroissance ou développement durable ?

Conférence-débat le Jeudi 29 avril 2010 à Uni Mail Genève sur la
décroissance ou "comment nous enlever le marteau qu'on a dans la tête"

http://lachaine.ch/spip/spip.php?article179